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(Punaise cet article sera vraiment impubliable. Comment vais-je bien pouvoir aborder ça de façon à la fois « juste » et « explicite » ? Bon, si après lecture de cet article certaines choses vous semblent encore peu claires, n’hésitez pas à me poser vos questions en commentaire.
Vraiment, je suis sincèrement désolée, hahaha ! Je vais
juste… Publier ça, et m’efforcer d’oublier que je l’ai publié.)
Bon, commençons.
C’est en regardant deux vidéos traitant de la théorie des
cuillères que j’ai eu l’idée d’écrire cet article. Ces deux vidéos étaient à
peu près semblables dans leur construction, sauf qu’une personne appliquait la
théorie des cuillères à l’Asperger, et l’autre l’appliquait au syndrome d’Ehler
Danlos.
Et je m’suis dit : « Ben zut ma fille, depuis le
temps que t’es une « spoonie »* toi aussi… Pourquoi tu n’en ferais
pas un article ? Eh mais, attends, c’est quoi ta maladie, à toi ?
Quoi, tu n’as pas un vrai handicap ? Ah ben
alors tu ne peux pas faire cet article. Ah non non non. Puisque tu n’as pas de nom à mettre sur ce que tu vis, tu ne peux pas
décemment raconter comment se décomptent les cuillères pour toi. Oh mais
attends, si, tu peux. Puisque tu es clairement concernée ma parole.
Neuroatypique de cruche d’hypersensible, va écrire ton article maintenant.»
(Je vous mets les liens vers les deux vidéos en fin d’article, si cela vous intéresse.)
(Je vous mets les liens vers les deux vidéos en fin d’article, si cela vous intéresse.)
*En anglais « spoon » signifiant
« cuillère », « spoonie » désigne une personne à laquelle
on peut appliquer la théorie des cuillères.
Oh, mais j’oubliais presque :
La théorie des cuillères, qu’est-ce
que c’est ?